4 questions fauves à Manon Allard et Elodie Cottet
"Chaque œuvre est un mode d’expression et propose un regard sur le monde. Nous y puisons des instants forts de vitalité, une force collective et une liberté du regard et de la pensée."
4 questions fauves à Anturia Soilihi
"J’aime la façon dont ma génération brouille les codes, mélange les références, casse les cases. On créé nos propres langages, nos propres mythologies, en refusant qu’on nous enferme."
4 questions fauves à Seren Kano et Andrège Bidiamambu
"L'art vivant, c’est une expérience qui ne peut être vécue qu’à ce moment-là et dans cet espace-là"
4 questions fauves à Pauline Auzuret
"Pour être aussi talentueuse que ceux que j'admirais, fallait-il ouvrir la porte d'une noirceur insoupçonnée ? Celle d'une artiste à fleur de vie, à fleur de peau qui devrait alors funambuler entre son talent et son bonheur ?"
4 questions fauves à Federico Robledo
"J’ai grandi entouré de récits où la Terre plate, les anges, les ovnis, la Vierge, les reptiliens et Jésus cohabitaient en pleine harmonie. Ce mélange de croyances et de visions du monde m’a profondément marqué."
3 questions fauves à Manon Geoffroy
"J'aime la sensation de vivre dans une génération unique et singulière, mais fédérée et poreuse aux générations précédentes et suivantes."
4 questions fauves à Sandra Sadhardheen
"L’art éveille en moi la puissance du corps et de l’instant, cette énergie fragile et intense propre à la création vivante. C’est aussi un espace de partage où artistes et spectateurs se connectent, faisant de chaque performance un moment de communion et de transformation."
4 questions fauves à Anthony Martine
"Le temps nous est compté, tant de choses volent en éclats alors nous n’avons plus grand chose à perdre."
Interview idéale avec Hortense Belhôte
Personne ne le fait aussi clairement (et en vrai il y a des moments où ce serait relou donc ça n'est pas un appel) mais si quelqu'un voulait lever la main pendant le spectacle pour poser une question ou partager une information complémentaire, c'est possible. Après c'est mieux si on le fait à la fin...
Interview idéale avec Marion Thomas
"Je rêve d’un futur où ces gestes-là (ceux qui ouvrent, qui relient, qui créent du possible) sont reconnus, soutenus par les politiques publiques."