4 questions fauves à Seren Kano et Andrège Bidiamambu


Né au Japon, Seren Kano commence la danse très tôt, attiré par la musique funk de James Brown et se tourne vers le locking. Andrège Bidiamambu est lui aussi attiré par les danses funk styles dont le locking. Lors du festival FAUVES, ils performeront quatre trois à l’occasion de la Soirée partagée danse, aux côtés de Sandra Sadhardheen.
C’est une exploration du mouvement à travers les fondations du locking dans une gestuelle à la fois simple et complexe, associée à une polyrythmie musicale et spatiale fascinante.

L’art vivant, c’est une expérience qui ne peut être vécue qu’à ce moment-là et dans cet espace-là

-Seren Kano

Qu’est ce qui te donne de la force dans ton travail ?

Seren: Mon esprit curieux

Andrège: Échanger sur des processus de création, partage d’expériences en tant que danseur.euse/chorégraphe.

Quelle(s) force(s) ou quels pouvoirs puises-tu dans l’art vivant ?

Seren: C’est une expérience qui ne peut être vécue qu’à ce moment-là et dans cet espace-là.

Andrège: La liberté de pratiquer et de créer.

Qu’est-ce qui t’inspire chez ta génération ?

Seren: La diversité

Andrège: Ce qui m’inspire dans ma génération, c’est cette dynamique de ré-appropriation et de re-création à partir d’une pratique du mouvement ou autres (danse, arts martiaux, musique …) qui lorsqu’elle est « suffisamment » digérée, permet pour moi d’aller vers quelque chose de plus personnel et d’imprévisible. 

Quel a été le point de départ de ce spectacle ?

Seren: La recherche du mouvement et le partage d’inspiration entre nous.

Andrège: L’envie de travailler ensemble sur une forme de danse, en utilisant différents outils dont le Locking et les polyrythmes.

À découvrir pendant Fauves…


  • Festival FAUVES

Évènement terminé

Essence OA + quatre trois

Sandra Sadhardheen – cie Sadhar + Seren Kano et Andrège Bidiamambu – AS Cie

Jeu. 09.10 – 21h00

Deux duo présentés dans une soirée partagée : l’un explore le locking, l’autre est nourri de l’énergie du Krump !

3 questions à Quentin Ellias

« Quand ça déborde, il faut que ça sorte quelque part. Moi c’est sur scène. »

4 questions fauves à Iris Gravemaker

« L’art créé des mondes parallèles dans lesquels nous plongeons, jusqu’à arriver dans un univers inconnu. »

3 questions fauves à Elsa Thomas

« L’art vivant est l’unique endroit où, en tant que scénariste, je peux donner réellement rendez-vous à mes personnages »