GIGI

Une présence simple, fragile et sur le fil. GIGI est un solo intime, un abandon de soi, une perdition de l’identité. Avec Dalida.

Dans un flot de paroles enivrantes, le danseur Joachim Maudet se livre à un seul-en scène tragi-comique, un autoportrait plein d’autodérision, qui se déroule comme un effeuillage. La parole est instantanée, inaliénable et laisse derrière elle un corps qui se déconstruit et se cherche. Le corps se déleste, la voix se libère et dévoile ainsi une part d’intimité et de vérité.