The first word of the first poem of the first collection is basket
Ondine Cloez et Kotomi Nishiwaki
Un spectacle présenté en partenariat avec Honolulu, dans le cadre du festival Le Grand Huit – Pièces, danses, performances.
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Le tanka, forme courte de la poésie japonaise, devient le prétexte d’un jeu malicieux pour deux performeuses autour de la traduction des émotions, sensations, souvenirs, désirs ou fantasmes qui les traversent sur scène.
Deux performeuses, devenues poétesses, manient l’art du tanka : 31 syllabes qui forment un poème japonais dont l’objet est de révéler quelque chose qui jusqu’à alors demeurait invisible ou inconnue : une émotion, une sensation, un désir, un fantasme. Face à nous, l’invisible apparaît et devient présent. Les mots sont dits, scandés, criés avec malice, l’anglais se heurte au français, les deux langues jouent entre elles, les phrases en deviennent burlesque et mettent à nu la question de l’amitié et des relations. Que reste-t-il de l’histoire commune d’Ondine et Kotomi 20 ans après leur rencontre ?
l’humour plein de subtilité, le burlesque et l’audace badine, la futilité héroïque.
ses émotions vives, ses amies, son recueil de poésies.
Distribution
Création lumière & direction technique : Alice Dussart
Regard extérieur : Kidows Kim
Invité•es : Marcelline Delbecq, Nina Garcia, Bruno de Wachter Graphisme : Lucie Caouder
Régie lumière : Vic Grevendonk
Stagiaire : Léo Bourdet
Productions déléguées : Atelier 210, ama brussels
Crédits
Soutiens : Fédération Wallonie-Bruxelles-Direction de la Danse, Wallonie-Bruxelles International, Wallonie-Bruxelles Théâtre/Danse, SACD